Aline,
Les jours où rien ne va, je ressens comme un interdit d'avoir un succès fou et, regrettant les paradis perdus, je sais que je n'appartiens plus à la même tribu que Lou, Señorita ou Daisy qui flottent dans un océan d'amour.
Je m'assois et je vois les amoureux qui passent comme autant de marionnettes, main dans la main, suivant le sillon tracé par cette petite fille au soleil. Leur Dolce Vita devrait me paraître belle or je la vois dangereuse.
Je ne t'ennivrerai pas de parfum d'histoires et de "oh non mon amour" même si j'ai toujours pensé les mots bleus que je te disais.
Je suis parti car même nue comme la mer, je ne t'aime plus mais... non ne raccroche pas ! Car lui, lui, je l'aime déjà et pour toujours... Alors s'il le plait parle-lui de moi au petit gars.
Christophe |
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