Comme les feuilles d'un arbre balayées par le vent,
mes souvenirs éphémères s'envolent avec le temps.
Asséchés par leur virevoltes, ils mourront.
Tels des papillons, si beaux qu'on veuille les conserver,
mes amis, chassez-les pour ne pas les oublier !
Exposés dans vos coeurs ils perdureront
Texte écrit pour le concours de poésie de la RATP - édition 2004