La nuit n'est jamais complète.Il y a toujours, puisque je le dis,Puisque je l'affirme,Au bout du chagrinUne fenêtre ouverte,Une fenêtre éclairée,Il y a toujours un rêve qui veille,Désir à combler, faim à satisfaire,Un cœur généreux,Une main tendue, une main ouverte,Des yeux attentifs,Une vie, la vie à se partager.
Issu du recueil "Phénix" (1951)
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